« La silhouette du Palais de Justice se détache dans le ciel malouin… dans un jeu de tonalités de gris, de reflets, de matités joue avec la lumière changeante et caractéristique de la région. » (Bruno Gaudin, architecte)

L’insertion végétale de cette architecture poursuit cette référence aux paysages de la région, et s’inspire en particulier des lignes de côtes changeantes et fluides formées par l’estuaire de la Rance, ses alternances de grèves sableuses et de bassins herbeux. Donnant sur la rue, accompagnant le prisme de granit de la rampe d’accès à l’entrée du Palais de Justice, une association de graminées bleues et grises, de stipes dorés, d’euphorbes rampantes forme comme des îles étirées sur un fond de sable gris. En toiture également, la composition végétale et minérale s’installe sur une pente douce et vient souligner la vue ouverte sur le paysage lointain.